AGRICULTURE - Soyons clairs, ce plan ne règle rien à long terme. Il n'est qu'une énième rustine permettant aux agriculteurs de tenir quelques mois, de traiter les cas les plus dramatiques, de passer l'été jusqu'à la prochaine crise.
POLITIQUE - L'heure est à la crise du politique. Pour tenter d'y remédier, se multiplient les propositions citoyennes, participatives, délibératives, référendaires. Les deux dernières en date émanent de nos deux partis dits de gouvernement.
POLITIQUE - A première vue, le "match des numéros deux" réunit un nombre conséquent de concurrents. Cependant, à l'heure actuelle, deux noms se détachent du peloton : Laurent Wauquiez et Bruno le Maire.
POLITIQUE - Devons-nous participer aveuglément à cette fascination vertigineuse pour le déclin? Ou devons-nous l'enrayer, au risque de taire une réalité moribonde contre laquelle les Français doivent être alertés? De cette équation paradoxale est né "Crise au pouvoir", le dernier projet éditiorial du HuffPost.
POLITIQUE - Alors que des milliers de personnes sont descendues ces derniers jours dans la rue pour faire part de leur ras-le-bol face aux dysfonctionnements du RSI, le régime de protection sociale des indépendants, je pense en particulier aux travailleurs indépendants d'Ile-de-France.
POLITIQUE - L'UMP vient d'annoncer l'organisation de primaires ouvertes en vue de l'élection présidentielle de 2017. Cette pratique est en train de s'installer en France et sans faire de politique-fiction, on peut imaginer qu'elle pourrait bien se généraliser. Cela va changer beaucoup de choses.
POLITIQUE - Ah! C'est beau de voir un couple aussi équilibré! Ainsi, alors que Clara chantait "Noël est là" entouré de son "Band Air", samedi dernier, Nicolas et ses fans débandèrent.
POLITIQUE - 70% des sympathisants s'exprimant en faveur d'un candidat souhaitaient que Nicolas Sarkozy prenne la tête de l'UMP. 26%, Bruno Le Maire et 4% Hervé Mariton. Si l'on considère que les adhérents se rapprochent des sympathisants il est possible de tirer quelques enseignements de ce scrutin.
POLITIQUE - Maintenant que l'ancien Président a repris le contrôle de son parti, Sarkozy sait qu'il ne peut pas monter sa machine de guerre tout seul. Il a besoin de tout le monde. Mais comment mettre de son côté ceux qui tentent de vous mettre des couteaux dans le dos?
POLITIQUE - La campagne touche à son terme et sans grosse surprise, Sarkozy devrait prendre la tête de l'UMP. Va-t-il faire de l'UMP sa machine de guerre?
POLITIQUE - Rares sont les hommes politiques français à pouvoir porter un projet de renouveau et répondre aux aspirations de la jeunesse. Bruno Le Maire est de ceux-là. Il est, depuis le 11 juin, candidat à la présidence de l'UMP: pas par devoir mais bien par envie; pas par obligation mais par enthousiasme.
POLITIQUE - Créée en 2002 pour être le « parti du président», l'UMP doit achever sa mue. Elle ne doit pas seulement être une machine de guerre électorale. Elle doit devenir une institution viable et pérenne, défendue par ses partisans et respectée par ses adversaires.
POLITIQUE - Nicolas Sarkozy va sans doute briguer la présidence de l'UMP, parti qu'il a formidablement dirigé il y a 10 ans, avec en point d'orgue l'élection de 2007. Fantastique souvenir pour tout sympathisant de la droite et du centre.
POLITIQUE - Le 17 juillet, Bruno Le Maire déclarait souhaiter pour la présidence de l'UMP un "président qui a des couilles". Si le terme étonne dans la bouche d'un "homme de culture", il rappelle que les institutions politiques sont aussi des institutions genrées.
JUSTICE - Face à l'augmentation croissante de l'insécurité et de la délinquance sur notre territoire, les Français, de droite comme de gauche, plébiscitent logiquement le renforcement des sanctions pour les délinquants et notamment les récidivistes.Le projet de loi présenté à l'Assemblée nationale par Christiane Taubira aurait pu être l'occasion de répondre aux inquiétudes et de renouer un dialogue avec les Français, rompu à de trop nombreuses reprises depuis deux ans.
POLITIQUE - Cher Bruno Le Maire, vos premières déclarations dans la Voix du Nord de ce matin me laissent plutôt perplexe. Quel raisonnement, autre que le réflexe pavlovien d'appartenance à un camp, vous permet d'affirmer "qu'Arras est une ville bien gérée"? Avez-vous étudié le budget municipal et le triplement des dépenses de réception en cette année pré-électorale?